Avril a été monopolisé par l’élection présidentielle prévue le 1er juin, et selon toute vraisemblance mai le sera aussi. Trois événements : 81 candidats, ramenés à 11 après inventaire des signatures requises, parmi eux la Première Ministre en exercice pour une fonction considérée à tort ou à raison comme sans pouvoir, et l’exceptionnelle montée en puissance d’une candidate qui ne s’est déclarée que le 10 avril et qui pourrait l’emporter !
Grindavík paraît oubliée, et pourtant la lave continue d’avancer vers la ville, inexorablement, enlevant progressivement aux plus optimistes tout espoir de retour à court ou moyen terme !
Je vous souhaite bonne lecture,
Michel Sallé